« Les astronomes ont commencé à détecter dès les années 60 les éléments constitutifs de l’ADN  dans plusieurs météorites. Mais jusqu’à présent difficile d’affirmer que ces éléments, des bases azotées, provenaient bien de l’espace et pas d’une contamination terrestre ultérieure.

Une nouvelle étude, publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, vient confirmer cette première hypothèse : les blocs de construction de notre matériel génétique atteignent la Terre transportés par une grande diversité de météorites et en grande quantité. »…lire la suite

Source : Science et avenir