Nous poursuivons notre enquête sur la complémentarité Foi et Raison avec cette question :
La raison peut-elle mener au vestibule de la foi ? (cliquez)
1 Commentaire
Bonjour Marc,
Je tenais avant tout à te rassurer sur ma « qualité de vie »,
en effet, je te sentais plutôt inquiet à ce sujet dernièrement. « Everything is god…. euh good ! » (rigolo, non ?)Donc, conformément à la méthode (observer – tester – conclure) je propose aujourd’hui de tester si les théologiens sont de bons maçons.
Question: Comment tester la solidité d’une bâtisse ?
Réponse: En testant ses fondations.Tout d’abord, je remarque la structure toute particulière de l’article « La raison peut-elle mener au vestibule de la foi ? » qui commence avec la réponse (adverbe affirmatif « Oui » – 1er mot de l’article) et se termine avec Jésus-Christ en guise de vernis de finition (conclusion)
Un peu léger pour une démarche d’honnête interrogation !Que nous dit C.S. Lewis (notre St Augustin du XX1ème siècle avec Alister Mc Grath et autre William Lane Craig) à propos des conditions qui rendraient valide une interrogation sur Dieu ?
1. « L’humanité naît avec l’émergence du sentiment religieux. »
2. « L’humanité a un sens naturel de ce qui est bien et mal. »
Il semble que C.S. Lewis n’ait pas ouvert tous les tiroirs de la connaissance pour trouver les réponses nécessaires et suffisantes à ses interrogations. (sciences cognitives, évolution de l’espèce humaine, psychologie évolutive…)
Je remarque par ailleurs que C.S. Lewis n’évoque pas ce qui devrait l’être: l’absence de conséquences observables qui résulteraient de l’existence d’un Dieu bon, juste, omniscient et tout et tout…)
Les fondations de la maison « théologie » semblent bien friables…